Depuis quelques années, la médecine opère un virage motivé par une nouvelle vision : la médecine des 4P.
Une médecine Personnalisée, Préventive, Prédictive et Participative… plus proche de l’individu et de ses caractéristiques physiologiques.
Les objets connectés, notamment les dispositifs de suivis, ont grandement participé à évangéliser cette nouvelle approche et Withings pourrait faire office de premier de cordée en la matière.
La société pilotée par le visionnaire Eric Carreel se pose assurément comme le fleuron français de l’e-santé et compte bien renforcer ce statut avec sa nouvelle montre hybride baptisée ScanWatch.
Mêlant ce qui a fait le succès des précédentes montures, Withings semble toucher la perfection en proposant ce qui pourrait être (à ce jour) le wearable le plus avancé en terme de santé connectée… matérialisé dans « tocante à aiguilles » qui plus est.
Non Withings ne m’a pas payé pour écrire cela, l’emploi du conditionnel l’atteste !
C’est seulement à l’issue de ce test que j’affirmerai ou infirmerai ces « éloges » peut-être prématurées.
Aux grands maux, les grands remèdes
Prenez tous les modèles hybrides de Withings, ajoutez une pointe de tech supplémentaire, mélangez le tout dans une monture premium et vous obtenez la ScanWatch.
Cette nouvelle venue dans la gamme se positionne clairement sur la santé connectée.
La volonté affichée par Withings est d’offrir une montre connectée hybride capable d’analyser en continu nos paramètres vitaux pour déceler d’éventuelles anomalies cardiaques et nous aider à améliorer notre santé au quotidien.
Et mes paramètres vitaux à 40 ans passé et bah j’y suis attaché !
Pour ce faire, la ScanWatch embarque un électrocardiogramme (ECG) de grade médical non sans rappeler celui de la move ECG, un oxymètre de pouls (lui aussi de grade médical) pour estimer la saturation artérielle en oxygène et les capteurs devenus traditionnels (capteur HR, accéléromètre, …) dédiés aux différents suivis.
Mais oui ça va rentrer
Tout l’art de Withings est de dissimuler ce joli petit monde dans une « véritable » montre. Et quelle montre !
Côté design, cette ScanWatch dans ses deux déclinaisons (38 et 42mm) est une vraie réussite.
Sans ostentation mais pas minimalistes pour autant, elles se distinguent par leur élégance et leur sobriété.
Les deux montres arborent un look différent. La forme du boîtier et le cadran analogique affichant la progression de vos objectifs caractérisent ces deux modèles.
Notez que vous aurez pour chacune, deux choix de couleur concernant le cadran principal (noir ou blanc).
On pourrait y voir un modèle plus féminin pour la version 38mm (parce que plus « chic » et plus petite) que la version 42mm qui assume un côté sportif montre au poignet. L’apparence de cette dernière plutôt massive (servie par un poids assez conséquent) l’oriente peut-être plus vers une population masculine.
En revanche le modèle 38mm pourra parfaitement convenir aux femmes comme aux hommes.
Le boîtier en acier inoxydable et le choix d’un verre en saphir (anti-rayure) pour ces deux modèles induisent un positionnement plus premium de la montre tout en renforçant ce sentiment de robustesse jusqu’alors apparent.
Une orientation qui se ressent sur le prix puisque la version 38mm s’affiche à 279,95€ contre 299,95€ pour la 42mm.
Déjà présent sur les modèles Steel HR et HR Steel Sport et permettant l’affichage des différentes données et des notifications mobiles, l’écran PMOLED monochrome prend de l’aisance en affichant désormais un diamètre de 1,3 cm. Il offre ainsi plus de 9000 pixels pour une luminosité de 260 nits.
Et croyez-moi, ça fait la différence.
L’écran est nettement plus lumineux et donc lisible en cas de forte luminosité ambiante. La lecture (notamment des notifications mobiles) est plus agréable que les modèles précédents.
Les menus restent inchangés avec quelques petits ajouts dus aux nouveautés de la montre. On retrouve ainsi la date et l’heure, la fréquence cardiaque, le nombre de pas, la distance parcourue, le nombre d’étages (une nouveauté avec la présence d’un altimètre), l’enregistrement ECG et SPO2 (nouveautés également), les entraînements, l’horloge et les réglages.
Il est bien entendu possible de modifier l’ordre de défilement depuis l’application Health Mate qui permet entre autre l’initialisation de la montre.
Petite attention au déballage, la ScanWatch se range dans une sacoche de transport en feutrine dans laquelle se situe également le chargeur.
Allez en bonus track, Withings demi-exhausse l’un de nos vœux qui était d’appliquer une surface phosphorescente sur les aiguilles. C’est chose faite, un revêtement « Super Luminova » recouvre désormais les aiguilles… mais uniquement celles du modèle 42mm.
Il est nettement plus pratique et confortable d’évaluer l’heure en pleine nuit avec cette phosphorescence. Utilisez l’écran PMOLED et vous verrez que les 260 nits de luminosité éclaboussent littéralement une chambre plongée dans l’obscurité – true story.
Une couronne pour la reine des hybrides
Avant d’évoquer les nombreuses fonctionnalités et possibilités que propose cette Withings ScanWatch, arrêtons-nous quelques instants sur cet unique bouton ou plutôt cette couronne digitale que l’on retrouve sur le côté droit de la montre.
Une petite pépite que j’apprécie tout particulièrement car elle facilite grandement la navigation au sein de l’écran PMOLED.
Elle permet notamment, une fois tournée, de dérouler les menus ou d’interagir sur le défilement des messages lors de la réception d’un SMS.
Vous pourrez ainsi défiler horizontalement le message pas à pas, quelque soit le sens.
Un appui sur ce même bouton permettra de sélectionner l’entrée souhaitée.
Un seul bouton donc pour plusieurs usages – aucune ambiguïté, aucune frustration d’appuyer sur le mauvais pour arriver à ses fins.
Withings pousse le souci du détail en appliquant un retour haptique (légère vibration) lorsque l’on défile les menus.
C’est complètement futile mais totalement indispensable. Ne me demandez pas pourquoi.
En faite, nous ne sommes plus de l’ordre du détail mais de la bienveillance.
Pour preuve avec cette fonctionnalité qui permet lors d’un appui de positionner les aiguilles à 10h10 si ces dernières venaient à cacher l’écran PMOLED.
Cette fonction n’est malheureusement pas disponible sur le modèle 38mm. Mais les aiguilles étant plus fines, elles perturbent moins la lecture de l’écran.
On sent que Withings a mis un point d’orgue à ce que l’expérience utilisateur sur ce modèle de montre connectée soit la plus optimale possible – Et c’est un régal !
Une vraie vocation d’offrir l’essentiel dans une monture simple en apparence. Des atouts qui conviendront assurément aux amateurs de montres analogiques.
Quoi d’neuf docteur !
On pourrait reprocher à cette ScanWatch un manque d’implication en terme de fonctionnalités connectées de part l’absence d’une puce GPS intégrée mais aussi de la dépendance qui la lie à notre smartphone.
Mais là où cette horlogerie des temps modernes est irréprochable, c’est bel et bien sur l’aspect santé.
Et c’est probablement sur cette orientation assumée de la part de Withings que les futurs possesseurs porteront leur choix.
Commençons par la mesure de la fréquence cardiaque qui permet un suivi proactif.
La ScanWatch surveillera votre fréquence toutes les 10 minutes tout au long de la journée ou en continu si vous exercez une activité sportive. Elle vous alertera si cette fréquence cardiaque est trop haute, trop basse ou si l’algorithme détecte une irrégularité du rythme.
J’ai toujours eu des doutes sur la précision des mesures effectuées par ce type de capteur.
Mais testée en live sur des vélos elliptiques derniers cris disposant d’un capteur HR et seconder avec mon Withings BPM Core, cette fréquence cardiaque (pourvu que la montre soit convenablement portée au poignet) est redoutable de précision.
Hérité de la Move ECG, la nouvelle montre connectée de Withings enregistre également un électrocardiogramme de grade médical. Communément appelées ECG, ces mesures permettent la détection de fibrillations auriculaires qui peuvent engendrer certaine formes graves d’arythmies responsables de près d’un tiers des AVC en France.
Pour réaliser cet enregistrement, il suffit d’atteindre l’entrée ECG via l’écran PMOLED de la montre puis de placer l’un de vos doigts sur l’électrode (le châssis de la montre) durant 30 secondes.
Rappelons que cette mesure doit être effectuée en totale détente au même titre qu’une prise de tension.
Le décompte réalisé, la montre indiquera via l’écran si l’ECG est normal ou non. Vous retrouverez bien entendu la mesure depuis l’application mobile Health Mate (compatible iOS et Android).
Les enregistrements seront disponibles au sein de l’application au format PDF que vous pourrez au besoin partager à votre médecin traitement.
Là encore en comparaison avec des enregistrements effectués en parallèle avec le Withings BPM Core, la ScanWatch fait preuve de justesse.
Inspirez, expirez
LA nouveauté de cette ScanWatch est le suivi respiratoire qui en cas de perturbations peut être symptomatique de certaines maladies.
Le contexte sanitaire (COVID-19) dans lequel nous sommes actuellement nous le rappelle chaque jour.
La montre embarque ainsi un capteur de SpO2 (oxymètre de pouls) permettant la mesure de votre taux d’oxygène dans le sang : une donnée qui évalue la fonction respiratoire.
Même principe que l’ECG pour la prise et les résultats. Ces derniers s’expriment en pourcentage.
A titre d’exemple, si votre saturation est constamment inférieur à 95%, il est conseillé d’en parler à votre médecin pour établir un diagnostic.
Grâce à son capteur PhotoPlethysmoGraphy (PPG) et son accéléromètre, la ScanWatch peut désormais détecter les perturbations respiratoires durant le sommeil.
Développé en collaboration avec les experts du sommeil de l’Hôpital Antoine-Béclère, un algorithme exclusif dresse un Scan Respiratoire en surveillant la fréquence cardiaque et respiratoire, la saturation en oxygène et les mouvements tout au long de la nuit.
Il permet, après analyse des données, de mesurer les éventuelles perturbations respiratoires relevées pendant votre sommeil et d’en déduire ce fameux indicateur de l’apnée du sommeil que Romain avait évoqué dans son test du Sleep Analayzer.
Depuis l’application mobile Health Mate, ce Scan Respiratoire peut être désactivé, automatique (la montre lancera le scan au moment le plus opportun) ou toujours activé.
En automatique, vous aurez la possibilité d’activer la fonction manuellement en dérogeant un scan le soir même.
Si vous décidez d’activer la fonction en permanence, sachez que l’autonomie se verra fortement impactée. Pour effectuer les mesures, la LED située au dos de la montre s’allume en permanence afin de collecter un maximum de données.
ECG, capteur PPG et SpO2,… cet éventail de fonctionnalités permet de réaliser un suivi proactif de sa santé tout en prévenant certaines anomalies ou maladies cardiovasculaires.
C’est tout l’enjeu de la médecine d’aujourd’hui, qui n’est plus uniquement axée sur le traitement d’une maladie mais sur la prédiction et la prévention.
Oummmm
Une récente mise à jour (29/10/2020) de la montre voit l’apparition d’un nouveau mode : Le mode Respirer.
Il offre la possibilité d’effectuer un focus sur sa respiration durant un laps d’une minute. Ce mode s’inspire d’une méthode appelée la cohérence cardiaque.
Une fonctionnalité que l’on connaît déjà sur d’autres modèles de montres connectées qui permet à la demande de se détendre en cas de stress.
Le mode est activable depuis la couronne digitale.
Il suffira ensuite de choisir le nombre de respirations (de 4 à 9 par minute) que vous souhaitez réaliser durant l’exercice puis confirmer.
L’écran PMOLED vous indiquera alors quand il faudra inspirer et expirer avec une temporalité symbolisée par un cercle.
Une légère vibration viendra également vous avertir des changements (expiration ou inspiration) que vous devrez effectuer.
Je la trouve trop légère pour être perceptible mais cette faiblesse dans le retour haptique est certainement voulue par Withings pour éviter de perturber l’utilisateur dans sa recherche de détente.
Notez que le choix du nombre de respirations se fait en fonction de vos capacités respiratoires.
Il est conseillé d’observer les résultats sur votre fréquence cardiaque à la fin d’une session pour mieux étalonner ce nombre de respirations à effectuer durant cette minute.
Cette optimisation influe directement sur le niveau de relaxation.
Plus smart que sportive
Cette ScanWatch hérite d’un savoir-faire, d’une fonctionnalité totem chez Withings : le suivi de nos activités.
Ces suivis peuvent être lancés depuis la montre grâce au menu entraînement (plus de 30 sports) ou détectés automatiquement lorsque l’on exerce une activité physique.
Cette détection se fait avec plus ou moins de succès.
Le suivi d’activité en règle général est bien réalisé par la montre de part les mesures réalisées, soutenu par une fiabilité du capteur cardiaque bougrement précis (les périodes d’explosivité d’une séance de squash sont parfaitement retranscrites).
Reste que les données relatives aux activités sportives peuvent paraître sommaires si vous ne faites pas de course à pied.
Pire si vous ne disposez pas de votre smartphone pour la course, la montre n’aura que peu d’intérêt (autre que de surveiller vos constantes) car dépourvue de puce GPS.
La fonction GPS étant déportée sur le mobile, il faudra veiller à prendre votre mobile avec vous si vous souhaitez pister votre itinéraire, retrouver votre allure, la distance parcourue et l’élévation depuis l’application Health Mate.
Par expérience et c’est surement le seul reproche que je peux émettre au sujet des montres connectées Withings, c’est cet objectif quotidien qui est uniquement indexé sur le nombre de pas que vous effectuez dans la journée. Objectif que vous aurez vous-même personnaliser lors de l’installation de la montre.
J’aurais souhaité qu’il soit associé aux autres activités sportives de la journée.
C’est assez réducteur de voir sa progression plafonnée alors que l’on sort d’une séance de natation ou de 40 minutes de RPM.
Une petite mise à jour logicielle serait la bienvenue 🙂
Le marchand de sable limogé
La ScanWatch n’échappe pas à la règle et embarque également un suivi du sommeil.
Ce modèle va beaucoup plus loin puisque grâce au Scan Respiratoire, il détecte les perturbations respiratoires pendant le sommeil, un indicateur d’apnée du sommeil.
La montre suit le sommeil léger et profond, sa durée, la régularité ainsi que les interruptions.
On retrouve ensuite toutes ces données agrégées sous forme de score dans l’application Health Mate.
Le « Smart Wake-Up » associé au mode alarme est bien entendu de la partie.
Cette fonctionnalité permet de définir un intervalle de temps partant de l’heure de réveil durant lequel la montre trouvera le meilleur moment pour vous réveiller avec de légères vibrations.
Dans la pratique, Je l’utilise quotidiennement et ça fonctionne pour moi.
Mais je dois l’avouer, les 12 vibrations pourront paraître insignifiantes pour celles et ceux qui auraient le sommeil plus lourd que moi.
L’écran très lumineux s’active également lors du réveil et pourrait être une alternative de secours… mais j’en doute.
Echec et Mate
A mon sens, le software représente plus de 50% de l’âme de ce produit.
Withings avec son application mobile Health Mate fait preuve d’une belle conception et d’une intelligence certaine. L’expérience utilisateur et l’esthétique de l’ensemble sont une fois de plus à saluer.
Un dashboard bien fourni en données est une chose, savoir les interpréter en est une autre !
Et c’est la force de Withings en proposant une interprétation didactique des résultats par le biais d’articles de blog ou de simples recommandations lors de la consultation d’une mesure depuis son smartphone.
Withings pousse même l’expérience jusqu’à proposer certains tests (comme l’échelle de somnolence d’Epworth ou le questionnaire STOP-Bang que l’on retrouve tous les deux dans la partie sommeil).
La compréhension est donc très largement faciliter et les rapports, quelque soit l’échelle de temps, permettent de se situer et de mieux s’apprivoiser.
La dernière release de l’application a vu (pour tous les produits de la gamme Withings sauf le thermo) l’arrivée de Health Insights.
Un chatbot officiant tel un coach qui commentera et interprétera certaines de nos mesures.
Cette fonction est vraiment bien réalisée et loin d’être gadget. Elle propose un accompagnement moins impersonnel, plus pertinent et permet dans certains cas la mise en place de rituels.
L’application Health Mate permet également de configurer la ScanWatch dans son ensemble via le Bluetooth : Définir une alarme, personnaliser les entraînements, modifier l’ordre d’affichage des items sur l’écran, …
Cerise sur le gâteau, ces accomplissements assimilés à des trophées qui permettent de façon ludique d’illustrer les distances parcourues, le nombre de pas ou encore le dénivelé depuis ses débuts.
Moins de fioritures, plus d’autonomie
Withings annonce une autonomie de 30 jours pour cette ScanWatch.
Cela fait maintenant trois semaines que je teste cette montre et compte tenu du niveau de batterie restant, je peux affirmer que ces 30 jours seront largement tenus : à raison de 2 séances de sport, une séance de squash, un Scan Respiratoire par semaine ainsi qu’un ECG et Sp02 par jour.
Du fait de l’absence d’une puce GPS intégrée et d’un écran monochrome moins énergivore, la ScanWatch dispose d’une autonomie très confortable.
Bien entendu, si vous lancez un Scan Respiratoire chaque soir, cette autonomie sera vite malmenée. J’ai observé une perte de 7% de batterie par scan.
La recharge de la montre se fait via la base magnétique fournie. Moins d’1 heure sera nécessaire pour passer de 0 à 80% et moins de deux heures de 0 à 100%.
Comme pour les modèles précédents, un mode « Économie d’énergie » vient prendre le relais offrant un rab’ de 20 jours supplémentaires si la montre est totalement déchargée.
Bien entendu, il faudra consentir à quelques renoncements, seules l’heure (analogique) et le suivi d’activité resteront disponibles.
Un appui sur la couronne de la montre indiquera via l’écran que vous êtes en « réserve d’énergie ».
Les petits plus
Comme je l’évoquais plus haut, la couronne digitale de navigation simplifie énormément les usages.
Il est désormais possible dans le mode « horloge » d’activer ou désactiver le réveil du lendemain directement depuis la montre.
On peut également y lancer un minuteur et un chronomètre.
Toujours via la montre dans le menu « réglage », nous sommes en mesure d’activer ou désactiver les notifications et le mode Quicklook.
Ce dernier fonctionnant avec l’accéléromètre permet d’activer l’écran sans avoir à appuyer sur la couronne digitale.
Il suffit de tourner le poignet vers soi pour que l’écran PMOLED s’anime.
Avec du recul, ce Quicklook mériterait une petite calibration puisqu’il faut exercer une belle orientation du poignet pour que l’écran s’active.
A ce jour, Withings nous offre sans conteste la montre connectée hybride la plus avancée en terme de santé connectée.
Offrir l'essentiel au service d'une monture "simple" en apparence est un parti pris que Withings assume en livrant une "vraie" montre et non le prolongement d'un smartphone.
Il faudra ainsi choisir de quel côté vous vous situez mais s'il faut juger la qualité intrinsèque de cette montre et ses usages, elle est tout bonnement parfaite !!